Un an après la publication du livre « Comment la police interroge et comment s’en défendre », nous souhaitons revenir sur cette expérience et en faire un petit feed-back.

Un an après la publication du livre « Comment la police interroge et comment s’en défendre », nous souhaitons revenir sur cette expérience et en faire un petit feed-back.
Ce texte fait suite à un autre texte qui circule suite à la manifestation du 25 mars à Sainte-Soline, et qui commet plusieurs erreurs d’appréciation par rapport aux collectifs et personnes qui ont été impliquées dans l’organisation et la « gestion » de cette journée. Encore une fois, le spectre de la ZAD vient y simplifier l’analyse, en se fondant sur des conflits et violences anciennes ou plus récentes qui, si elles ont été bien réelles, ne peuvent indéfiniment être mobilisées ou instrumentalisées pour essentialiser et dégommer des mouvements plus actuels qui tentent de les dépasser, et qui sont moins binaires qu’on ne voudrait.
Une réaction à la mort de Nahel et de la demande de Vérité et Justice qui l’accompagne.
A propos des violences qui découlent des divisions orchestrées par l’État et ses collaborateurs sur la ZAD de NDDL (Notre Drame des Landes)
Brochure sous-titrée « Répression et incendies de véhicules » produite en solidarité avec un compagnon anarchiste récemment incarcéré à Villepinte, accusé d’incendies de véhicules.
Réactions au traitement médiatique des « violences urbaines » à Ponta.
En tant qu’anarchiste, il est normal de s’opposer à (l’État certes) toute mesure autoritaire. Le passe sanitaire avec QR code intégré est bien une mesure autoritaire puisqu’il empêche ou contraint grandement l’accès aux soins, aux transports ou à la culture d’une partie de la population. La question n’est même pas de savoir si oui ou si non le vaccin est une bonne stratégie ou encore de connaître la composition sociologique des personnes non vaccinées pour les excuser de « leur faible bagage intellectuel ». Le propos ici est d’examiner la situation sanitaire actuelle à la lumière de concepts tels que la stratégie du choc de Naomi Klein et les sociétés de contrôle de Gilles Deleuze.
Critiques et analyses des processus médiatico-judiciaires en jeu lors d’affaires judiciaires en général et antiterroristes en particulier.
Carapatage, c’est une émission contre les prisons, la répression et le contrôle à travers l’actualité de l’enfermement mais aussi son histoire, en racontant les luttes à l’intérieur et à l’extérieur en échangeant ce qu’on a vu, lu et entendu. Carapatage, c’est tous les 1er et 3e mercredis du mois de 20H30 à 22H30, sur radio libertaire, 89.4 FM (en Île-de-France).
Dans le cadre du « mouvement anti-police » actuel à Brest et ailleurs, il apparaît nécessaire et pertinence de porter un point de vue autonome et partisans sur les questions policières et sécuritaires. Ce texte est une version un peu plus complète du tract du même titre distribué lors de la dernière manifestation de Brest.
Contre la loi « sécurité globale », pour la dissolution de la police !
À l’heure où des manifestations massives animent les États-Unis contre les violences policières racistes, résonne le slogan « abolish the police ». En France, les revendications autour de la police visent en général davantage l’arrêt de certaines pratiques policières (clé d’étranglement, plaquage ventral, contrôles au faciès, etc.) que l’abolition de l’institution policière elle-même. Nous avons sollicité Gwenola Ricordeau, professeure assistante en justice criminelle à la California State University, Chico, auteure de Pour elles toutes. Femmes contre la prison (Lux, 2019) pour nous éclairer sur cette revendication et ses implications concrètes.
Depuis le mois de mars on assiste au déploiement d’un arsenal de mesures destiné à enrayer la propagation du covid-19. Bien loin de concerner le seul champ médical, ces mesures impliquent des transformations profondes du fonctionnement des institutions étatiques, et notamment judiciaires. L’état d’urgence sanitaire instaure un État autoritaire, anéantit les droits de la défense et exacerbe le réflexe sécuritaire.
Dans ce contexte, les groupes de défense collective et legal teams restent actifs pendant le confinement pour ne laisser personne isolé·e face à la police et aux juges.
Nuit d’exactions policières encore une fois dans le 93. Un homme à moto s’est fait défoncer la jambe par des flics qui ont ouvert intentionnellement leur portière pour stopper la course du jeune homme. Ils ont ensuite tenté de s’enfuir, mais sont revenus aider le blessé quand ils ont constaté qu’il y avait des témoins. ACAB !
Sur la grève des matons qui a commencé le 5 mars.
SOLIDARITÉ AVEC LES PRISONNIERS ANARCHISTES
MORT À L’ÉTAT
Affiche trouvée sur les murs de Paris, avril 2013
Alors qu’à travers la France les forces de l’ordre s’agitent férocement pour défendre le régime, S. dort en détention provisoire depuis le 27 mars 2018 à la maison d’arrêt de Limoges. Accusé d’avoir incendié des véhicules de la gendarmerie à la caserne Jourdan de Limoges, il est retenu pour quelques traces d’ADN frauduleusement obtenues. Seul élément à charge dans un dossier lourd de milliers de pages qui justifie pourtant de le garder à l’ombre. Y restera-t-il jusqu’à la fin de l’enquête, qui devrait durer plusieurs mois encore ?
Cette brochure réalisée par la Caisse de Solidarité de Lyon recense 50 fichiers d’identification administrative, fichiers de police, fichiers de justice et fichiers de renseignement, en somme tous les outils dont l’État s’est doté pour le contrôle des populations. On y détaille la manière dont ils fonctionnent mais aussi comment savoir ce que l’État sait de nous et finalement comment lui demander de nous oublier.
Pourquoi nous pensons que contribuer au « procès de l’extrême droite » pourrait être une impasse voire une véritable impasse. Par la Défense collective de Rennes
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