Si cette personne n’est pas identifiée dans les jours qui viennent, elle sera enterrée sous X. Si les associations humanitaires ne se démènent pas pour retrouver ses proches, lever des fonds pour une inhumation digne ou un rapatriement, ce jeune homme restera un mort de l’ombre, un anonyme, comme tant d’autres, en fosse commune ou dans la zone spéciale du cimetière de Coquelles.
Comme cet Ethiopien de 23 ans écrasé sur la rocade portuaire le 1er juin.
Comme ces deux corps de syriens retrouvés cet hiver, l’un sur une plage des Pays Bas, et l’autre sur une plage de Norvège avec des combinaisons de plongée achetées à Calais en octobre.
Comme tant d’autres ces derniers mois et dernières années.
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