
Si c’est contraint c’est pas du soin (brochure + tract et affiche)
Psychiatrisées contre les traitements forcés
Psychiatrisées contre les traitements forcés
Le 31 janvier 2019, le rendu du jugement du 20 décembre 2018 au tribunal administratif est tombé. Il était intenté par la CNIL contre la décision du ministère de l’intérieur de procéder au retrait et au déréférencement administratifs (blocage par les fournisseurs d’accès à Internet et dans les moteurs de recherche) des sites Indymedia Nantes et Grenoble
Récit d’une condamnation pénale à des heures de Travail d’Intérêt Général (TIG), par la justice, pour donner des billes à celleux qui y seraient confrontées. Au-delà du retour d’expérience, ce texte lance aussi un appel à réflexion collective sur les TIG pouvant mener à une organisation concrète, en faveur des copaines condamnées.
Le matin du 7 février dernier, au cours d’une opération de police, les flics bouclent le quartier d’Aurora à Turin et forcent les barricades de l’Asilo Occupato.
TOUT.E.S, SUR TOUS LES TERRITOIRES, NOUS NOUS DÉFENDRIONS COMME HIGUI
Concernant le combat des blessé-es contre les violences d’Etat.
Expo de panneaux grand format (A1) sur la dernière réforme pénitentiaire (de fin 2018), les luttes à l’intérieur et à l’extérieur contre la taule, et sur le démantèlement d’une ancienne prison à Lyon. Ils ont été affichés dans la rue lors du rassemblement à la prison de la Santé le 12 janvier dernier.
Le 23 octobre 2018, le sénat proposait 7 mesures pour encadrer encore plus les manifestations. S’emparant de ce projet « clef-en-main » qui lui était servi par la frange la plus réactionnaire de la droite, le gouvernement a su profiter de l’aubaine pour apporter une réponse répressive et liberticide au mouvement des « gilets jaunes ». Voici l’analyse effectuée en novembre sur Rebellyon, un peu remaniée.
Attention, ceci n’est qu’un projet, et il est appelé à évoluer…
On relaye ici 2 communiqués écrits le week end dernier dans deux bâtiments de centres de rétention d’Île-de-France (Mesnil 2 et Vincennes 2A) ! Depuis un mois les luttes collectives s’enchaînent à l’intérieur, a l’extérieur la solidarité essaye de s’organiser.
Depuis la publication de la brochure La folle volonté de tout contrôler : Sur 50 fichiers de police-justice et les moyens d’en sortir, il y a eu quelques changements dans les procédures, et d’autres modifications sont prévues pour le printemps. Alors, avant une mise à jour complète de la brochure pour l’automne 2019, voici quelques nouvelles.
Dans un rapport consulté par l’Humanité, les médecins estiment pour la première fois que la mort de ce trentenaire, en 2012, a pu être « déclenchée » par l’intervention d’un policier.
À Bure et dans les villages autour, la surveillance par la gendarmerie est permanente. Un escadron de gendarmerie mobile est affecté ici sans interruption depuis l’été 2017. Les escadrons viennent de toute la France et tournent régulièrement : un escadron reste rarement plus de trois semaines sur place avant la relève. Du coup, l’intensité de la surveillance et des contrôles varie parfois en fonction de l’escadron présent sur place.
On voulait faire cet article afin de témoigner de la situation sur place et de donner des informations aux personnes qui souhaiteraient se rendre ici.
Mise au point du collectif Désarmons-les ! sur les menaces régulières qu’iels reçoivent depuis quelques temps
Depuis plusieurs semaines, de nombreux.ses prisonnier.es sont en lutte dans les CRA de Vincennes, Mesnil-Amelot et Oissel (près de Rouen) et à Plaisir plus récemment. Pour les soutenir, plusieurs rassemblements et parloirs sauvages ont eu lieu.
Pour celleux qui avaient suivi, la fin de l’année 2017 avait été agitée, entre autres, par des menaces de blocage (par les fournisseurs d’accès à Internet et dans les moteurs de recherche) de deux Indymedia francophones, Grenoble et Nantes.
Les deux sites avaient en effet reçu plusieurs courriers de l’OCLCTIC exigeant le retrait de plusieurs contributions qui revendiquaient des sabotages, notamment en soutien aux personnes qui passaient en procès à cette même époque pour l’incendie d’une voiture de police pendant le mouvement contre la loi travail.
Beaucoup de personnes dans l’antiracisme se sont déjà exprimées pour témoigner de leur agacement face au fait que le sujet « violences policières » est pris nettement plus au sérieux quand les cibles de ces violences sont blanches. C’est une réalité que nous connaissons déjà et qui vaut pour tous les domaines. Mais j’aimerais revenir sur deux points qui m’agacent énormément
Mardi 22 janvier 2019, au moins 4 perquisitions ont eu lieu à Grenoble vers 7h du matin dans le milieu féministe / anarchiste.
Parce que les lycéen.nes ont raison de se révolter... Une trêve avant la reprise ?
Ils étaient nombreux.euses ces dernières semaines, lycéen.nes à bloquer, à se retrouver dans la rue, à manifester. À Saint-Étienne comme ailleurs en France, la réponse de l’État a été simple et claire : pression policière, gardes à vue, tribunaux... La violence de la réponse policière nous a presque fait oublier les raisons pour lesquelles les lycéen.nes se mobilisent. Nous publions donc ici un article du Gueuloir - journal stéphanois écrit par des lycéen.nes et étudiant.es - qui revient sur le projet de loi Blanquer, suivi d’un article du collectif « Aggiornamento » sur les futurs programmes scolaires qui selon elleux ont pour optique d’ « ingurgiter, trier et exclure »...
Ca continue de bouger au centre de rétention de Vincennes..
Dans tous les lieux d’enfermement la violence est quotidienne. La prison pour étrangèr.e.s de Oissel près de Rouen, est un de ces laboratoires d’expérimentation de la répression. Nous relayons ici la parole collective des copain-e-s de l’intérieur !
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