Il n’y aura pas de saumons à Plouisy, l’usine ne se fera pas !
Le 10 décembre, nous enterrons le projet !
AN UZIN EOGED : MO KET !
Plouisy - Guingamp, le saumon c’est NON !
Ecologie
[Pikez] « DU PAIN ET DES PARPAINGS » #2
Un deuxième émission qui donne la parole à des personnes ayant participé au bon déroulement de l’action d’arrêt du train de céréales à St Gérand en mars 2022.
🏴☠️ Alerte à tous.tes : Equipièr.e.s Wanted !
Bien mieux qu’une annonce Pôle emploi : un appel à rejoindre un bateau pirate !
[Guingamp] Dourioù Gouez : Journée de mobilisation du 10 décembre 2022
Ferme-Usine à Saumons à Plouisy : Le 10 décembre, nous enterrons le projet !
L’Ecologie ou la Révolution
Le week-end du 28 et 29 octobre, une invitation appelle à se retrouver pour empêcher l’installation d’une nouvelle méga-bassine. L’objectif est très clair mais il faut l’avouer, il semble difficilement atteignable. S’attaquer directement à des projets dévastateurs, à ceux qui les mettent en place et les protègent relève du bon sens, mais comment s’y prendre pour réussir ? Il faut paradoxalement se décaler légèrement de l’attraction que cette cible opère sur nous. Il faut moins penser à la destination qu’au chemin qui y mène. Ce qu’il faut alors, c’est accepter de livrer bataille, s’apprêter à marcher longtemps, courir et surtout, tenir dans les nuages de gaz. Ce qu’il faut, c’est mettre en échec le dispositif policier. Du niveau de puissance que nous allons déployer pendant cette journée dépend sa réussite. Parce que quand bien même nous n’arrivons pas à atteindre le chantier, ce qui se joue dans ces moments là dépasse la simple lutte contre les méga-bassines. Des complicités qui naissent sur le champ à celles qui s’organisent en amont, il y a là l’expérience d’une force à même de relever des défis bien plus grands. Mais pour cela, il faut se débarrasser d’un obstacle majeur présent dans cette lutte, plus précisément de son cadre de pensée.
Nommons-le : l’écologie.
Les centrales sont-elles centrales ? Rando et discussions dans les Monts d’Arrée le 25/08
De l’ancienne centrale nucléaire de Brennilis à la toute récente centrale à gaz de Landivisiau, trois jours de rando-bivouac permettront de réfléchir collectivement, d’évoquer les petites histoires et la grande Histoire, de partager des savoirs chauds, froids et d’autogérer notre école de l’énergie.
L’agro-industrie va droit dans le mur, nous devons la mettre à terre !
Camarades, ami.es,
A la suite de l’action de blocage d’un train alimentant l’élevage industriel, menée par le collectif Bretagne contre les fermes-usines le 19 mars 2022, les domiciles de militant.es ont été perquisitionnés et quatre personnes ont été placées sous contrôle judiciaire. Nous vous remercions pour le soutien que vous nous avez d’ores et déjà exprimé.
Le processus d’enquête est en cours. De notre côté, avec nos avocats, nous organisons une défense collective. Les modes (...)
Appel pour deux jours de rencontres des Soulèvements de la Terre Bretagne
Appel pour deux jours de rencontres des Soulèvements de la Terre Bretagne 23 et 24 juillet
Non aux croisières de luxe en baie de Douarnenez !
Le 22 juin 2022, à Douarnenez, un énorme navire de croisière de luxe jette son ancre en baie de Douarnenez.
Ni Brest, ni Venise, ni Douarnenez, ni ailleurs !
Entre pollution de l’eau, de l’air, climat aux tendances extrêmes partout dans le monde et effondrement de la biodiversité, d’autres font le choix de contribuer au ravage en observant, depuis leur tour d’ivoire flottante, la destruction en cours.
Nous, habitant.e.s de la côte et de Douarnenez, refusons de laisser cette logique touristique aux conséquences dramatiques s’imposer sur notre rivage.
NON AUX NAVIRES DE CROISIÈRES !
Appel au mouvement écologiste – Passons à l’offensive
Le ravage écologique est en cours. La croissance « verte », le solutionnisme technologique ou la transition douce par l’État sont des mythes réconfortants dont il faut maintenant faire le deuil.
Deux possibilités se présentent alors à nous : l’effondrement des écosystèmes ou celui du système capitaliste. Dans le premier cas, les conditions nécessaire à la vie sur Terre se trouvent extrêmement réduites. Dans le deuxième cas, c’est-à-dire si le système capitaliste s’effondre, les écosystèmes reprennent vie, les communautés humaines et non-humaines peuvent s’épanouir.
Face au ravage écologique nous devons démanteler le capitalisme et les infrastructures sur lequel il repose.