Ce texte est une réponse de Vanina suite à la situation qui s’est développée autour de la présentation de son bouquin : « Les leurres postmodernes contre la réalité sociale des femmes » au CRAS à Toulouse.
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Ce texte est une réponse de Vanina suite à la situation qui s’est développée autour de la présentation de son bouquin : « Les leurres postmodernes contre la réalité sociale des femmes » au CRAS à Toulouse.
Dans un contexte politique aussi tendu, une seule solution face au fascisme.
Ce vendredi 26 avril 2024 avait lieu à Toulouse une présentation du livre « Les leurres postmodernes CONTRE la réalité sociale des femmes » écrit par Vanina. Elle avait été invitée par le CRAS (Centre de Recherche pour l’Alternative Sociale).
Fantasmant sur une pride subversive voire émeutière au vu de l’actualité brûlante concernant les droits des mineurs trans, et le droit à l’autodétermination pour toustes, il me semble intéressant de republier des textes critiques concernant les prides des dernières années. Dans cet article on parle de celleux qui pleure que « la marche des fiertés » de Paris (héritière traitre de Stonewall) ne soit plus une soirée mousse. Dans le silence et la colère, peut-on s’attendre à autre chose que la nostalgie de la fête ?
Une contribution écrite à plusieurs mains et faite à Marseille en avril 2024.
Des notes concernant divers bouquins à mi-chemin entre conseils de lecture, résumés et analyses critiques. Les bouquins et oeuvres présentés sont dispos, consultables et empruntables à la Bibli des Brûlots au Local le Dix, 10 rue Sisley à Brest. Possibilité de consulter et d’emprunter lors des permanences les mercredis soir de 17 à 19h et dès que le local est ouvert !
Histoire de dix ans du naufrage réactionnaire d’un mouvement se prétendant « libertaire », à travers ses acteur·ices et ses publications.
Des notes concernant divers bouquins à mi-chemin entre conseils de lecture, résumés et analyses critiques. Les bouquins et oeuvres présentés sont dispos, consultables et empruntables à la Bibli des Brûlots au Local le Dix, 10 rue Sisley à Brest. Possibilité de consulter et d’emprunter lors des permanences les mercredis soir de 17 à 19h et dès que le local est ouvert !
Sortie du livre « Paillettes toxiques et Sérum Phy. Des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis hétéro) » !
« Tout est chaos...à côté...
Tous mes idéaux : des mots abîmés... »
Retour sur la Pride Radicale de Rennes du 16 octobre 2021.
"Dans cette addition de « je » incapables de former un « nous », la faiblesse devient une ressource politique et l’être victime un statut social porté en étendard. Toute la force de la faiblesse, toutes ses possibilités d’hégémonie en microcosme militant, reposent sur les tentatives de renvoyer toute prise de position politique déviante à une violence infligée et insupportable. « Tu me fais violence » et « je me sens mal » étouffent toute potentialité conflictuelle et féconde. Et dans un espace où la légitimité politique repose sur l’identité, toute voix dissonante est nécessairement celle de l’ennemi, de l’oppresseur, systématiquement singulier puisque tout est toujours une question d’individu."
160 000. C’est le nombre de footballeuses adhérentes à la Fédération française de football (FFF). Une goutte d’eau dans un océan mâle de deux millions de licenciés. Contrairement à l’Amérique du Nord où la moitié des huit millions de footballeurs sont des footballeuses, la vieille Europe, et encore plus la France, relègue le foot féminin sur le banc de touche. Le sexisme et le conservatisme d’une institution sportive dirigée en très grande majorité par des hommes, le fait que le foot incarne depuis ses origines un bastion de la masculinité ainsi que les enjeux de pouvoir autour du sport roi sont les raisons habituellement avancées pour expliquer cette disqualification. Mais le statut marginal du foot féminin se comprend également au regard de l’histoire de sa pratique dans l’Hexagone.
Ce texte a été écrit par les meufs de la Caisse de Solidarité de Lyon (puis validé par l’ensemble du collectif), à la suite de débats qui traversent un grand nombre de collectifs militants depuis de nombreuses années. Sans prétendre apporter des solutions définitives, il vise à alimenter la réflexion sur les alternatives à la justice étatique, y compris la gestion des agressions sexuelles.
Et si la lutte contre les inégalités entre hommes et femmes passait non pas par une redistribution des ressources, mais par une remise en question directe des fondements socio-culturels de la masculinité et de la féminité ?
À travers une analyse des discours et sur fond de crise, nous montrerons comment se construit une masculinité raciste et misogyne allant de la police jusqu’aux incels.
Appel pour une journée de mobilisation féministe le lundi 8 juin 2020
Mon féminisme me fait du mal.
Cette phrase, je me la suis arrachée à moi-même, après des heures de lutte interne, en novembre dernier. J’ai eu si peur de me l’avouer, et encore plus peur de le dire à mes proches qui se trouvaient avec moi, qu’avant de réussir à la verbaliser, j’ai ressenti une tension terrible, la sensation confuse que j’allais me trahir, tuer une partie de mon identité. Pourtant, quand ces mots ont finalement franchi mes lèvres, c’est un profond soulagement qui les a (...)
Résumé d’un grand article traitant de la rhétorique de la parole réservée aux concerné·es.
Au programme : indivudualisme, néo-libéralisme et dépolitisation au profit de l’exposition de la souffrance comme vertu politique.
Sonia Corrêa, féministe brésilienne, met en garde contre la ségrégation de sexe dans le contexte du Covid-19
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