Vous êtes toutes et tous conviéEs au grand bal dégenré/Fest Noz qui se tiendra le 31 mars prochain à Fay de Bretagne près de la ZAD de Notre-dame-des-Landes.
Ce lieu est sous une procédure d’expulsion et les habitantEs ont à payer 800 euros de frais de justice demandé par la partie adverse.
Cet événement fait suite à des bals dégenrés qui se sont tenus dans ce même lieu durant tout l’hiver !

Au mois de janvier et février 2017, les trois personnes titulaires du compte bancaire du comité de soutien aux inculpé.es (la caisse de solidarité de Nantes et de la zad) ont été convoquées par la gendarmerie dans le cadre d’une enquête ouverte par une juge d’instruction.

Deux enfants ont été retenus en fin de journée dans leur école par la police qui les ont exfiltré pour un « placement provisoire » et ceci alors même qu’une expulsion discrète de leurs familles a eu lieu le matin même au camping - pure coincidence ? Non - orchestration nauséabonde par les instances d’Etat qui violent leurs propres règles, et avec la coopération soumise des acteurs locaux... No pasaran !
Rendez-vous vendredi 24 à midi ET à 17h à la sous-préfecture / antenne du conseil général
pour EXIGER leur libération immédiate !

Le mardi 28 mars à 19H, au café associatif de Goasven (Logonna-Daoulas). La projection sera suivi d’une soupe à prix libre en soutien à la famille de Manuel présumé suicidé à la prison de Brest, puis de discussions.

Appel à sortir les injustices quotidiennes des Tribunaux en assistant aux audiences et en publiant des comptes-rendus.

Journée de solidarité avec les prisonnièrEs trans
Samedi 18 mars à l’Avenir, 22 rue Bugeaud à Brest.

Suite au décès de Manuel, à l’actualité en fRance, nous appellons à un rassemblement samedi 4 mars à 17h place de la Liberté à Brest.

On est quelques personnes d’une équipe médic a orgasiner une formation de 2 jours de street médic dans le finistère.

Au mois de janvier et février 2017, les trois personnes titulaires du compte bancaire du comité de soutien aux inculpé.es (la caisse de solidarité de Nantes) ont été convoquées par la gendarmerie dans le cadre d’une enquête ouverte par une juge d’instruction.

En situation de confinement solitaire de longue durée, les détenus sont victimes d’effets psychologiques nocifs ; une situation et des effets qui s’observent dans de nombreux pays et notamment en France.