Mardi 21 août, un certain nombre de médias en ligne ont propagé une nouvelle : des squatteurs auraient délogé des retraités de leur maison ! Il s’agissait en fait d’une résidence secondaire, maison bourgeoise à deux pas du centre-ville, inhabitée depuis 10 ans et occupée par des exilé·e·s.
Tout ça n’est pas sans rappeler ce que les médias avaient nommé « l’affaire Maryvonne » dont l’emballement médiatique orchestré par l’extrême droite avait provoqué le dépôt de plusieurs projets de loi anti-squat et qui s’était soldée par la modification de l’article 226-4 du code pénal. Là aussi, Ouest-France avait été particulièrement prolixe, le journal avait en effet produit des
