Ce texte part d’un objectif : remettre la politique sur ses pieds, la ramener du ciel des idéalités au sol bien réel de la confrontation de classe, du rapport de force direct.
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Ce texte part d’un objectif : remettre la politique sur ses pieds, la ramener du ciel des idéalités au sol bien réel de la confrontation de classe, du rapport de force direct.
Ces gens ne sont pas comme nous ! Un peuple de sauvages ! Ils l’ont bien cherché ! Ils ne comprennent que la violence ! Peu importe l’âge, leurs enfants ne sont que des assassins en puissance ! De la graine de terroriste ! Si on les ensevelit vivants sous un tapis de bombes, c’est leur faute ! C’est les lois de la guerre ! On n’a pas le choix, c’est une guerre de civilisation !
Depuis le 7 octobre, combien de fois, en tentant d’allumer une radio ou une télé, aurons-nous entendu ce genre (...)
Dans un contexte politique aussi tendu, une seule solution face au fascisme.
Ou pourquoi on doit arrêter d’utiliser les services de Proton pour les trucs répréhensibles et préférer des alternatives anarchistes et autogestionnaires.
Le 22 février à 17h, j’ai eu le plaisir de recevoir un mail du service départemental à la jeunesse, à l’engagement et aux Sports.
Retour sur les origines de la critique anti-industrielle et mise en perspective de ses apports à la critique actuelle du monde tel qu’il va mal, dans le but d’instaurer un débat au sein des mouvements de critiques radicaux de gauche. Positionnement dans ce débat du collectif Ruptures.
Réactions au traitement médiatique des « violences urbaines » à Ponta.
Les souffrances de l’année qui s’est écoulée font remonter à la surface toutes les autres...
L’UNION COMMUNISTE LIBERTAIRE de BREST est engagée depuis le départ dans la mobilisation actuelle contre les lois sécuritaires et liberticides et, plus largement contre les violences et le racisme policiers. Cette mobilisation large englobant des organisations syndicales, politiques, associatives, des collectifs et des individus très divers tant du point de vue de leurs fonds politiques que de leurs propositions d’action engendre assez logiquement des controverses quant aux pratiques à l’intérieur du mouvement. Celles-ci sont pour nous inévitables et nécessaires. En effet, si nous défendons la nécessité d’une unité populaire large contre cette politique, nous pensons néanmoins qu’il n’est pas sain de chercher à mettre ses divergences sous le tapis sous prétexte d’unité coûte que coûte. Au contraire, tout en continuant la mobilisation, il faut autant que possible que s’élaborent des réflexions sur le fond et sur les formes d’actions, que des échanges stratégiques aient lieu afin justement que cette mobilisation vive, évolue et s’adapte aux évènements et aux idées qui en émergent.
Pour ces raisons nous souhaitons clarifier notre position politique et ainsi participer sincèrement aux débats sur ces sujets. Nous nous inscrivons donc dans une discussion large et sans tabou avec les diverses composantes du mouvement social.
Dans le cadre du « mouvement anti-police » actuel à Brest et ailleurs, il apparaît nécessaire et pertinence de porter un point de vue autonome et partisans sur les questions policières et sécuritaires. Ce texte est une version un peu plus complète du tract du même titre distribué lors de la dernière manifestation de Brest.
Contre la loi « sécurité globale », pour la dissolution de la police !
« La CGT affirme constituer une menace pour le gouvernement : il ne s’agit là que d’un masque. Son but réel est de continuer à mener paître le troupeau de ses partisans afin de mieux les tondre. En France, bien plus sans doute qu’ailleurs (en laissant de côté les régimes dictatoriaux ou semi-dictatoriaux), les syndicats font partie intégrante de l’Etat et jouent un rôle central dans la gestion du capital. Tout mouvement social en France, qui voudra éviter les vieilles erreurs et ne pas (...)
À l’heure où des manifestations massives animent les États-Unis contre les violences policières racistes, résonne le slogan « abolish the police ». En France, les revendications autour de la police visent en général davantage l’arrêt de certaines pratiques policières (clé d’étranglement, plaquage ventral, contrôles au faciès, etc.) que l’abolition de l’institution policière elle-même. Nous avons sollicité Gwenola Ricordeau, professeure assistante en justice criminelle à la California State University, Chico, auteure de Pour elles toutes. Femmes contre la prison (Lux, 2019) pour nous éclairer sur cette revendication et ses implications concrètes.
Appel pour une journée de mobilisation féministe le lundi 8 juin 2020
Nuit d’exactions policières encore une fois dans le 93. Un homme à moto s’est fait défoncer la jambe par des flics qui ont ouvert intentionnellement leur portière pour stopper la course du jeune homme. Ils ont ensuite tenté de s’enfuir, mais sont revenus aider le blessé quand ils ont constaté qu’il y avait des témoins. ACAB !
Cela fait plus d’un mois que nous avons diffusé la première partie de ce texte, en partageant des informations et des réflexions anarchistes sur le contexte chilien depuis le début de l’ainsi-dite « explosion sociale » qui s’est déclenchée le 18 octobre dernier. Le texte précédent allait jusqu’à la veille de la grande manifestation dans le centre-ville [de Santiago ; NdAtt.], annoncée pour le vendredi 25 octobre.
Affiche trouvée sur les murs de Paris, avril 2013
Les semaines passent et la pression reste de mise. Que ce soit à Toulouse ou à Ambert, les perquisitions du mois de mars continuent à servir de prétexte à des convocations et autres mises sous pression. Ça ne concerne pas seulement les GAVés et inculpés. Aujourd’hui encore les flics menacent, poursuivent leur sale boulot, construisent leurs “scénarios”. Notre solidarité va à toutes les personnes impactées par cette série de perquisitions, qu’elles soient sous CJ, derrière les barreaux ou parties dans la nature. Une pensée aussi aux gens qui, ici ou ailleurs, s’activent autour de questions matérielles et de soutien.
À propos de la sortie prochaine de l’ouvrage,
Histoire populaire de la révolution portugaise de 1974-1975 de Raquel Varela aux Éditions Agone (2018)
La PSQ, où Police de Sécurité du Quotidien, a été lancée officiellement par le ministre de l’intérieur le 8 février dernier suite à la volonté du gouvernement de s’« engager dans une évolution des missions de la police et de la gendarmerie pour répondre à la priorité des Français : la sécurité. »
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