Nous sommes plusieurs à penser que la crise écologique n’est pas le fait d’une responsabilité qui serait à faire peser sur les individus et que la solution ne sera pas trouvée en quémandant auprès de l’Etat, ni d’aucun pouvoir en place, des solutions. Nous pensons que la crise écologique découle du système capitalisme et des valeurs marchandes et productivistes qu’il porte. Il faut donc s’organiser en conséquence pour diffuser ce message et instaurer un rapport de force avec le capitalisme. Nous appelons donc à former un cortège révolutionnaire.
RDV ce vendredi 22 mars à 13 h 15 place de Strasbourg, dans le cadre du mouvement inpulsé par Youth for climate.
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