Pour ne pas laisser le discours dominant à des associations et féministes institutionnalisé-es, abolitionistes (qui considérent tou-tes les travailleur-ses du sexe comme des victimes) ;
Cet espace est mis en place pour se renseigner sur le travail sexuel, et vise autant les travailleur-ses, que les allié-es, que les personnes souhaitant se renseigner sur cette lutte et ses enjeux.
Ce n’est pas l’espace pour discuter de choses tel que « mais la prostitution opresse LA femme » et j’en passe...
L’orga de la soirée s’autorise donc à demander aux personnes exprimant des choses abolitionistes / putophobe (et qui ne remettent pas en question leurs idées) de quitter la conférence.
Après les terribles affiches abolitionistes, collées durant le festival Clitorik, en réaction au spectacle de Traumboy, travailleur du sexe (« la prostitution c’est le viol » « notre corps n’est pas à vendre » « la prostitution n’est pas un métier » « ni à vendre ni à prendre » « le corps des femmes n’est pas une marchandise »...), nous voulons un espace sécurisé (safe) pour discuter du travail du sexe sans se retrouver à débattre avec des personnes campées sur leur posture putophobe / abolitioniste.
Une caisse de soutien prix libre sera mise en place pour le défrayement de la personne.
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